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rumoris N M

  • 1 arguo

    argŭo, ĕre, argŭi, argūtum - tr. -    - 3e pers. plur. prés. arch. arguont, Plaut. Bacch. 308; part. argutus, Plaut. Amp. 883; Merc. 629; part. fut. arguiturus, Sall. H. fr. 2, 71; arguturus est sans ex., quoique donné par Prisc. 10, 12.    - cf. gr. ἀργής, ῆτος, éclatant de blancheur --- ἀργός, brillant, luisant. [st1]1 [-] mettre en lumière, éclaircir, rendre manifeste, montrer, faire voir, démontrer, prouver, affirmer; soutenir avec force, déclarer.    - tute argue quae dicis, Apul.: démontre ce que tu dis.    - si arguitur non licere, Cic.: s'il est démontré que c'est illicite.    - degeneres animos timor arguit, Virg. En. 4: la crainte dénote un coeur bas.    - arguere + prop. inf.: montrer que, démontrer que.    - speculatores, non legatos, venisse arguebat, Liv. 30, 23: il affirmait que c'étaient des espions et non des ambassadeurs qui étaient venus. [st1]2 [-] convaincre d'erreur, convaincre de défectuosité, dénoncer, réfuter.    - laudibus arguitur vini vinosus Homerus, Hor. Ep. 1: en faisant l'éloge du vin, Homère trahit son penchant pour l'alcool.    - primusque animalia mensis arguit imponi, Ov. M. 15: il fut le premier à dénoncer la consommation de la chair d'animaux à table.    - Plinium arguit ratio temporum, Suet.: le calcul des temps réfute l'opinion de Pline.    - titulus spoliis inscriptus illos me que arguit, consulem ea Cossum cepisse, Liv. 4, 20, 6: l'inscription que portent les dépouilles prouve contre eux et contre moi que Cossus était consul quand il les conquit.    - cf. Tac. An. 1, 12.    - mihi tradendi arguendique rumoris causa fuit ut... Tac. An. 4, 11: j'ai tenu à rapporter ce bruit et à en dénoncer la fausseté pour que...    - (leges dedit) quas ne usus quidem, qui unus est legum corrector, experiendo argueret, Liv. 45, 32, 7: (il donna des lois) telles, que l'usage même, qui est par excellence le réformateur des lois, malgré l'épreuve ne les fit pas voir en défaut. [st1]3 [-] dévoiler la culpabilité (de qqn), inculper, accuser, dénoncer.    - arguere aliquem criminis (crimine, de crimine): accuser qqn d'un crime.    - occupandae rei publicae argui, Tac.: être convaincu de vouloir usurper l'empire.    - qui arguuntur, Liv.: les inculpés.    - qui arguunt, Liv.: les accusateurs.    - te hoc crimine non arguo, Cic. Verr.: ce n'est pas de ce chef que je te poursuis.    - occidisse patrem Roscius arguitur, Cic. Rosc. Am.: Roscius est accusé d’avoir tué son père. [st1]4 [-] reprendre, blâmer, reprocher.    - ea culpa, quam arguo, Liv. 1: la faute que je reprends.    - peccata coram omnibus argue, Vulg. 1 Tim. 5, 20: les coupables, reprends-les devant tout le monde.    - etiam ignobilitatis arguere ausus est, Suet. Cal. 23: il osa même lui reprocher la bassesse de ses origines.
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    argŭo, ĕre, argŭi, argūtum - tr. -    - 3e pers. plur. prés. arch. arguont, Plaut. Bacch. 308; part. argutus, Plaut. Amp. 883; Merc. 629; part. fut. arguiturus, Sall. H. fr. 2, 71; arguturus est sans ex., quoique donné par Prisc. 10, 12.    - cf. gr. ἀργής, ῆτος, éclatant de blancheur --- ἀργός, brillant, luisant. [st1]1 [-] mettre en lumière, éclaircir, rendre manifeste, montrer, faire voir, démontrer, prouver, affirmer; soutenir avec force, déclarer.    - tute argue quae dicis, Apul.: démontre ce que tu dis.    - si arguitur non licere, Cic.: s'il est démontré que c'est illicite.    - degeneres animos timor arguit, Virg. En. 4: la crainte dénote un coeur bas.    - arguere + prop. inf.: montrer que, démontrer que.    - speculatores, non legatos, venisse arguebat, Liv. 30, 23: il affirmait que c'étaient des espions et non des ambassadeurs qui étaient venus. [st1]2 [-] convaincre d'erreur, convaincre de défectuosité, dénoncer, réfuter.    - laudibus arguitur vini vinosus Homerus, Hor. Ep. 1: en faisant l'éloge du vin, Homère trahit son penchant pour l'alcool.    - primusque animalia mensis arguit imponi, Ov. M. 15: il fut le premier à dénoncer la consommation de la chair d'animaux à table.    - Plinium arguit ratio temporum, Suet.: le calcul des temps réfute l'opinion de Pline.    - titulus spoliis inscriptus illos me que arguit, consulem ea Cossum cepisse, Liv. 4, 20, 6: l'inscription que portent les dépouilles prouve contre eux et contre moi que Cossus était consul quand il les conquit.    - cf. Tac. An. 1, 12.    - mihi tradendi arguendique rumoris causa fuit ut... Tac. An. 4, 11: j'ai tenu à rapporter ce bruit et à en dénoncer la fausseté pour que...    - (leges dedit) quas ne usus quidem, qui unus est legum corrector, experiendo argueret, Liv. 45, 32, 7: (il donna des lois) telles, que l'usage même, qui est par excellence le réformateur des lois, malgré l'épreuve ne les fit pas voir en défaut. [st1]3 [-] dévoiler la culpabilité (de qqn), inculper, accuser, dénoncer.    - arguere aliquem criminis (crimine, de crimine): accuser qqn d'un crime.    - occupandae rei publicae argui, Tac.: être convaincu de vouloir usurper l'empire.    - qui arguuntur, Liv.: les inculpés.    - qui arguunt, Liv.: les accusateurs.    - te hoc crimine non arguo, Cic. Verr.: ce n'est pas de ce chef que je te poursuis.    - occidisse patrem Roscius arguitur, Cic. Rosc. Am.: Roscius est accusé d’avoir tué son père. [st1]4 [-] reprendre, blâmer, reprocher.    - ea culpa, quam arguo, Liv. 1: la faute que je reprends.    - peccata coram omnibus argue, Vulg. 1 Tim. 5, 20: les coupables, reprends-les devant tout le monde.    - etiam ignobilitatis arguere ausus est, Suet. Cal. 23: il osa même lui reprocher la bassesse de ses origines.
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        Arguo, arguis, argui, argutum, pen. prod. arguere. Virgil. Degeneres animos timor arguit. Monstrer, Faire apparoir une chose.
    \
        Non ex audito arguere. Plaut. Ne prouver pas par l'avoir ouy dire.
    \
        Vultu genus arguitur. Ouid. Est cogneu.
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        Langor arguit amantem. Horat. Manifeste.
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        Arguitur virtus malis. Ouid. Vertu se monstre és adversitez.
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        Arguere. Plaut. Cic. Reprendre, Accuser, Convaincre.
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        Id quod tu arguis. Cic. Ce que tu luy mets sus.
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        Verbo arguere de re aliqua, cui opponitur Negare. Cic. Apporter preuves de parolles.
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        Arguere reum. Vlpian. Convaincre aucun de quelque faulte.
    \
        Arguitur patrem occidisse. Cic. On luy met sus qu'il a tué son pere.
    \
        Quod author iniuriae illius fuisse argueretur. Cic. On luy mettoit sus.
    \
        Arguor immerito. Ouid. Je suis accusé injustement.

    Dictionarium latinogallicum > arguo

  • 2 rumor

    rumŏr, ōris, m. [st2]1 [-] bruit qui circule, rumeur publique, propos, nouvelle. [st2]2 [-] bruit sourd, murmure d'une foule, rumeur, bruit, on-dit. [st2]3 [-] renommée, réputation (bonne ou mauvaise). [st2]4 [-] bruit, cri, murmure.    - rumor est (fert) + prop. inf.: on dit que, le bruit court que...    - rumores afferuntur de...: des bruits courent sur....    - uno rumore periculi: au seul bruit du danger.    - rumore secundo, Suev. ap. Macr. S. 6, 1: avec l'approbation générale.    - rumore optimo esse: jouir de la meilleure réputation.    - rumorem differre (serere, spargere): répandre des bruits, faire courir des bruits.    - rumore malo flagrare, Hor.: être décrié.    - Rumor, oris, m.: la renommée (personnifiée).
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    rumŏr, ōris, m. [st2]1 [-] bruit qui circule, rumeur publique, propos, nouvelle. [st2]2 [-] bruit sourd, murmure d'une foule, rumeur, bruit, on-dit. [st2]3 [-] renommée, réputation (bonne ou mauvaise). [st2]4 [-] bruit, cri, murmure.    - rumor est (fert) + prop. inf.: on dit que, le bruit court que...    - rumores afferuntur de...: des bruits courent sur....    - uno rumore periculi: au seul bruit du danger.    - rumore secundo, Suev. ap. Macr. S. 6, 1: avec l'approbation générale.    - rumore optimo esse: jouir de la meilleure réputation.    - rumorem differre (serere, spargere): répandre des bruits, faire courir des bruits.    - rumore malo flagrare, Hor.: être décrié.    - Rumor, oris, m.: la renommée (personnifiée).
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        Rumor, rumoris, m. g. Cic. Un bruit de ville, Rumeur.
    \
        Secundo rumore aliquid accipere. Tacit. Avoir aggreable le bruit qu'on a ouy de quelque chose, Recevoir un bruit favorablement.
    \
        Sinister rumor. Lucan. Mauvais bruit.
    \
        Rumoris nescio quid afflauerat. Cic. Il estoit venu je ne scay quel bruit.
    \
        Rumor ait linguae te esse malae. Martial. Le bruit est que, etc.
    \
        Diditur hic subito Troiana per agmina rumor. Virgil. Est espars.
    \
        Differre rumorem. Tranquillus. Semer un bruit.
    \
        Dissipatis rumoribus improbissimis. Cic. Bruits espanduz et semez par tout.
    \
        Excipere rumores. Cic. Escouter et scavoir quel bruit il court.
    \
        Rumore malo flagrare. Horat. Avoir mauvais bruit.
    \
        Rumor incesserat. Tacit. Il estoit survenu un bruit.
    \
        Frigidus a rostris manat per compita rumor. Horat. S'espard.
    \
        Peruaserat rumor. Tacit. Le bruit estoit par tout.
    \
        Senescunt rumores. Tacitus. Le bruit se perd et s'abolit.
    \
        Varios rumores serere. Virgil. Semer.
    \
        Rumor est, vel erat. Terent. Le bruit est.
    \
        Qui erit rumor populi, inquit, si id feceris? Terent. Que dira le peuple de toy, si tu, etc. Quel bruit sera il de toy entre le peuple?

    Dictionarium latinogallicum > rumor

  • 3 vanus

    vānus, a, um    - vanior Liv. 7, 7, 8; vanissimus Vell. 2, 30, 1. [st1]1 [-] vide, où il n'y a rien.    - ne vana urbis magnitudo esset, Liv. 1, 8, 5: pour que cette grande ville ne fût pas dépourvue d'habitants.    - vanior erat hostium acies, Liv. 2, 47, 4: les lignes (de l'ennemi) étaient dégarnies.    - Virg. G. 1, 226; Curt. 4, 14, 14. [st1]2 [-] fig. creux, vain, sans consistance, sans fondement, mensonger.    - vana oratio, Cic. Lael. 98: propos creux (sans sincérité).    - nec tota ex vano criminatio erat, Liv. 33, 31, 4: tout, dans l'accusation, n'était pas dénué de fondement.    - vanum argumentum, Quint.: preuve peu concluante.    - cf. Cic. Amer. 117; Planc. 101; Fin. 2, 46. [st1]3 [-] trompeur, fourbe, imposteur, sans conscience, sans foi.    - vani hostes, Sall. J. 103, 5: des ennemis sans foi.    - cf. Cic. Fin. 3, 38; Div. 1, 37; Gell. 18, 4, 10. [st1]4 [-] sans succès, qui n'aboutit à rien.    - Tac. H. 2, 22.    - avec gén. vanus veri, Virg. En. 10, 631: qui n'est pas en possession de la vérité.    - nec voti vanus foret, Sil. 12, 261: et il ne fût pas déçu de son voeu (et son voeu eût été accompli...).    - vana tela, Liv.: traits qui ne portent pas, traits perdus.    - veri vana feror, Virg. En. 10, 631: je (= Junon) m'abuse entièrement (je me trompe fort).    - ne vanus iisdem castris assideret, Tac. H. 2, 22: pour ne pas rester dans le même camp après un échec.    - ora vana movere, Ov.: fatiguer inutilement sa mâchoire. [st1]5 [-] vain, vaniteux.    - Liv. 35, 47, 7; Sall. H. 4, 35. [st1]6 [-] subst. n. vanum: vanité, inutilité, néant.    - ad vanum redacta victoria, Liv. 26, 37, 8: victoire réduite à néant.    - vana tumere, Virg. (vana, acc. plur. n. pris comme adv.): se gonfler d'orgueil en vain.    - ex vano, Liv. 27, 26. 1: sans fondement, sans raison.    - in vanum, Sen. Ep. 31, 4, pour rien, inutilement.    - vana rerum, Hor. S. 2, 2, 25: la vaine apparence des choses.    - vana rumoris, Tac. An. 4, 59: vains bruits.    - vanum est avec prop. inf.: il est faux que. --- Plin. 30, 25.
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    vānus, a, um    - vanior Liv. 7, 7, 8; vanissimus Vell. 2, 30, 1. [st1]1 [-] vide, où il n'y a rien.    - ne vana urbis magnitudo esset, Liv. 1, 8, 5: pour que cette grande ville ne fût pas dépourvue d'habitants.    - vanior erat hostium acies, Liv. 2, 47, 4: les lignes (de l'ennemi) étaient dégarnies.    - Virg. G. 1, 226; Curt. 4, 14, 14. [st1]2 [-] fig. creux, vain, sans consistance, sans fondement, mensonger.    - vana oratio, Cic. Lael. 98: propos creux (sans sincérité).    - nec tota ex vano criminatio erat, Liv. 33, 31, 4: tout, dans l'accusation, n'était pas dénué de fondement.    - vanum argumentum, Quint.: preuve peu concluante.    - cf. Cic. Amer. 117; Planc. 101; Fin. 2, 46. [st1]3 [-] trompeur, fourbe, imposteur, sans conscience, sans foi.    - vani hostes, Sall. J. 103, 5: des ennemis sans foi.    - cf. Cic. Fin. 3, 38; Div. 1, 37; Gell. 18, 4, 10. [st1]4 [-] sans succès, qui n'aboutit à rien.    - Tac. H. 2, 22.    - avec gén. vanus veri, Virg. En. 10, 631: qui n'est pas en possession de la vérité.    - nec voti vanus foret, Sil. 12, 261: et il ne fût pas déçu de son voeu (et son voeu eût été accompli...).    - vana tela, Liv.: traits qui ne portent pas, traits perdus.    - veri vana feror, Virg. En. 10, 631: je (= Junon) m'abuse entièrement (je me trompe fort).    - ne vanus iisdem castris assideret, Tac. H. 2, 22: pour ne pas rester dans le même camp après un échec.    - ora vana movere, Ov.: fatiguer inutilement sa mâchoire. [st1]5 [-] vain, vaniteux.    - Liv. 35, 47, 7; Sall. H. 4, 35. [st1]6 [-] subst. n. vanum: vanité, inutilité, néant.    - ad vanum redacta victoria, Liv. 26, 37, 8: victoire réduite à néant.    - vana tumere, Virg. (vana, acc. plur. n. pris comme adv.): se gonfler d'orgueil en vain.    - ex vano, Liv. 27, 26. 1: sans fondement, sans raison.    - in vanum, Sen. Ep. 31, 4, pour rien, inutilement.    - vana rerum, Hor. S. 2, 2, 25: la vaine apparence des choses.    - vana rumoris, Tac. An. 4, 59: vains bruits.    - vanum est avec prop. inf.: il est faux que. --- Plin. 30, 25.
    * * *
        Vanus, Adiectiuum. Virgil. Vuide.
    \
        Vanus. Iuuenal. Sans esprit, Qui s'addonne à choses vaines et de nulle valeur.
    \
        Vanum. Terent. Ne possible, Ne vray semblable.
    \
        Vanus. Virgil. Menteur et controuveur de parolles et bourdes, Mensongier.
    \
        Vanus ingenio. Liu. Qui croit de legier.
    \
        Author vanus. Liu. Menteur, Porteur de faulses nouvelles.
    \
        Fides vana. Virgilius. Faulse.
    \
        Fiducia vana pedum. Ouid. Vaine.
    \
        Ictus vanus. Liu. Donné en vain.
    \
        Incoeptum vanum. Liu. Qui ne vient point à prouffit.
    \
        Precibus vanis sollicitare aliquem. Ouid. Vaines et inutiles et qui ne servent de rien, Prier en vain.

    Dictionarium latinogallicum > vanus

  • 4 afflo

    Латинско-русский словарь > afflo

  • 5 auctor

    ōris m. [ augeo ]
    1)
    а) основатель ( Iliacae urbis O); создатель, творец или виновник (alicujus rei, реже alicui rei, ad aliquid и in aliquā re: vulnĕris V; facinoris VP)
    a. beneficii C, Oблагодетель
    a. mortis O (necis Su) — убийца
    a. templi L — зодчий, строитель храма
    a. statuarum PMскульптор
    б) изобретатель или покровитель
    a. lucis OApollo
    a. citharae LcnMercurius
    в) (тж. a. gentis Su, originis Su, generis V) родитель, родоначальник (mihi Tantalus a. O)
    2) податель, даритель (munĕris O, M)
    munera a. quae pretiosa facit погов. Oценность дару придаёт (сам) дарящий
    3) писатель, автор
    a. rerum Romanarum Cримский историк
    legere C (lectitare C, evolvere Su) auctorem — читать писателя
    auctorem esse T, Su — повествовать, рассказывать
    4) поборник, сторонник ( pacis C)
    a. nominis ejus T — человек, именем которого названо это (движение)
    5)
    vehementer a. Libi sum, ut (ne) C — я настоятельно советую тебе, чтобы (не)
    me (te, illo) auctore C, Cs etc. — по моему (твоему, его) совету
    aliquem actorem auctoremque habere Nep — иметь в ком-л. помощника и советчика
    a. legis L, C etc.защищающий закон ( реже автор законопроекта)
    6) общепризнанный знаток и судья, тж. поручитель, удостоверяющее (подтверждающее) лицо, авторитет
    auctores sumus, tutam majestatem nostri nominis fore L — мы ручаемся, что величие нашего имени ущерба не потерпит
    a. famae, rumoris (nuntii) C — лицо, подтверждающее слух (известие)
    unum cedo auctorem tui facti C — укажи хоть одного, на которого можно было бы сослаться
    Cato omnium virtutum a. C — Катон, образец всяческих добродетелей
    a. aquae pluviae graculus O — галка, предвещающая дождь
    lucis a. avis V — птица, вестница рассвета (т. е. петух)
    8) свидетель, опекун ( отвечающий за законность акта)
    a. dicendi C (naturae H) — учитель или исследователь красноречия (естествознания)
    10) представитель, агент (civitatis, societatis C)

    Латинско-русский словарь > auctor

  • 6 aura

    ae f. (греч.) тж. pl.
    1) дуновение, веяние, ветерок, воздушное течение (matutina Vtr; antelucana PM; nocturna Cs)
    2) тж. pl. воздух ( captare naribus auram V)
    semper aēr movetur, frequentius tamen auras, quam ventos, habet PJ — воздух всегда движется, но в ном более часты воздушные течения, чем ветры
    auras vitales suscipere Lcr (carpere V) — дышать
    a. mixta vapore Lcr — воздух, смешанный с испарениями
    3) испарения, запах ( dulcis V)
    4) поэт. ветер (petulans Lcr; rapida O)
    dum flavit velis a. secunda meis Oпока паруса мои надувались попутным ветром (т. е. пока обстоятельства мне благоприятствовали)
    5) pl. небо, небесная высь ( stat ferrea turris ad auras V)
    6) pl. (тж. superae aurae V) дневной свет
    ferre sub auras V — делать известным, объявлять, разглашать
    7) лёгкое дыхание, проблеск, призрак, тень
    8) блеск, сияние ( auri V)
    10) звук, голос, отзвук ( rumoris C)

    Латинско-русский словарь > aura

  • 7 vanum

    vānum, ī n. [ vanus ]
    1) пустота, пустое пространство ( tela in vanum cadunt Sen)
    2) тщетная суета, призрачность, ничто

    Латинско-русский словарь > vanum

  • 8 afflo

    af-flo (ad-flo), āvī, ātum, āre, I) zu-, entgegen-, anwehen, A) eig.: a) intr. v. Winde, ne in eas partes spectet villa, ex quibus ventus afflare soleat, Varr.: v. der Kälte, afflabat acrior frigoris vis, Liv.: v. Duft, entgegenduften, afflabunt tibi non Arabum de gramine odores, Prop.: u. medial, odores, qui afflarentur e floribus, Cic. – b) tr. v. Feuer, calidum membris afflare vaporem, Gluthitze anhauchen, Lucr. – B) übtr.: a) intr. entgegenwehen (wie der Wind, der die Segel schwellt) = günstig sein, felix, cui placidus leniter afflat amor, Tibull.: afflante fortunā, Quint. – b) tr.: α) zuwehen = zubringen, zutragen, sperat sibi auram posse aliquam afflari voluntatis dissensionisque eorum, qui etc., Cic.: rumoris nescio quid afflaverat commissione Graecorum frequentiam non fuisse, Cic. – β) anhauchen, eingeben, (unvermerkt) mitteilen, ubi indomitis gregibus Venus afflat amores, Tibull.: (genetrix) laetos oculis afflarat honores, hatte heitere Würde den Augen angehaucht, Verg.: u. vom Gifthauche des Neides, si quem reperiat, cui aliquid mali faucibus afflare possit, Cornif. rhet. – II) anwehen, anblasen, anhauchen (= wehend-, hauchend berühren), tr. u. intr., A) eig., v. Winde, v. der Luft, terga tantum afflante vento, Liv.: afflatus aurā (Zugluft), Suet.: v. Atem, Hauch, taurorum afflari ore, Ov.: a serpentibus afflari, Col.: si serpens afflavit, Sen.: velut illis (Dat.) Canidia afflasset, jene (die Speisen) durch ihren Hauch vergiftet hätte, Hor.: v. Atem der Sonnenrosse (= Morgenluft), nosque ubi primus equis Oriens afflavit anhelis, Verg.: v. Blitz (s. Barth Stat. Theb. 2, 85), tribus modis urit (fulmen), aut afflat (versengt) et levi iniuriā laedit aut comburit (verbrennt) aut accendit (setzt in Flammen), Sen. nat. qu. 2, 40, 4: imbre orto fulmen decidens hostiam et victimarium sacrificanti afflavit, traf, Spart. Hadr. 14, 3: me divum pater fulminis afflavit ventis, mit anwehendem Strahle gerührt, Verg.: u. so fulminis telis od. fulminum ignibus afflari, vom Blitzstrahl berührt (versengt) werden, Ov.: v. Feuer u.v. der Hitze übh., saucii afflatique incendio, von der Glut versengt, Liv.: afflari sidere = siderari (w.s.), Plin.; vgl. loquacitas animos iuvenum... pestilenti quodam sidere afflavit, Petr. – B) übtr., jmd. anhauchen = jmd. (mit Begeisterung, Jugend usw.) erfüllen, afflata est numine quando iam propiore dei, da vom mächtigen Hauch des nahenden Gottes jetzt mit Begeisterung sie erfüllt ward, Verg. – te... Gratia afflavit, Claud.: Romam meliore iuventā, ihr Jugend verleihen, Claud. – Romam regius terror afflabat, befiel Furcht vor dem Könige, Flor.

    lateinisch-deutsches > afflo

  • 9 affluo

    af-fluo (ad-fluo), flūxī, ere, an etw. herzu-, heranfließen, -strömen, I) eig.: 1) im engern Sinne, v. Flüssen usw.: Aufidus amnis utrisque castris affluens, Liv.: Eurotas prope affluit moenibus, Liv.: Rhenus ad Gallicam ripam latior et placidior affluens, Tac.: v. Ebbe u. Flut, aestus maris bis inter duos exortus lunae adfluunt bisque remeant vicenis quaternisque semper horis, Plin. 2, 212. – 2) im weitern Sinne, v. andern Gegenständen: a) als t.t. der epikur. Philos., von dem zu einer Wahrnehmung erforderlichen »Zuströmen« der Atome u. Bilder, ad deos affluere, überströmen auf die G., Cic. de nat. deor. 1, 49: u. von der belebten Kraft der Seele, poet. m. bl. Acc., convenit, ut sensu corpus affluat omne, mit Gefühl den ganzen Körper behauche, Lucr. 3, 685 (wo Lachmann arceat, Brieger afuat liest, Bernays [684] den Vers als unecht einhakt). – b) von Speisen, dazufließen, -strömen (in den Magen), cibo affluente, Suet. Claud. 44, 3. – c) v. einer Menschenmenge, herbei-, herzuströmen, -eilen, ingentem comitum affluxisse numerum, Verg.: affluente cotidie multitudine ad famam belli spemque praedae, Liv.: affluentium undique auxilium, Sall. fr.: affluentibus in diem copiis, Flor. – II) übtr.: 1) unvermerkt zufließen, -zukommen, si ea sola voluptas esset, quae quasi titillaret sensus et ad eos cum suavitate afflueret et illaberetur (auf sie mit süßem Reize einströmt u. eindringt), Cic.: nihil ex istis locis non modo litterarum, sed ne rumoris quidem affluxit, Cic. – 2) in reichem Maße zuströmen, pro cerebri ubertate vel affluit (wächst mehr u. mehr) capillago (Haarwuchs) vel deserit (fällt aus), Tert. de anim. 51: affluunt subito, repente dilabuntur (vires atque opes humanae), Val. Max.: cum domi otium et divitiae affluerent, Sall.: ubi effuse affluunt opes, Liv.: ex eo, quod affluit opibus vestris, sustinendo necessitates aliorum, dadurch, daß ihr von euerem Überflusse fremde Not erleichtert, Liv. – dah. alqā re, reichlichen Zufluß an etw. haben = etw. in Überfluß-, in Fülle haben, mit etw. in Fülle-, reichlich versehen sein, unguentis affluens, gleichs. triefend von Salben, Cic.: ut affluam frumento, Plaut.: u. so divitiis, honore, laude, Lucr.: voluptatibus, Cic. – u. absol. prägn. = Überfluß haben, im Überfluß leben (Ggstz. carere), carere iustos vident et affluere iniustos, Lact. 5, 21, 8.

    lateinisch-deutsches > affluo

  • 10 aura

    aura, ae, f. (αὔρα), der Hauch, I) im engern Sinne, der strömende Lufthauch, 1) im allg.: a) eig., das Wehen, die Strömung der Luft, der Luftzug, die wehende Luft, das Säuseln, aura fluminis, Liv.: aura matutina, Vitr., antelucana, Plin.: nocturnā aurā uti (v. Schiffen, die segeln), Caes.: aurā fluere mobilius, Sen.: deneget afflatus ventus et aura suos, Ov.: Plur., aurae fluminum et stagnorum, Luftzüge an usw., Cels.: semper aër spiritu aliquo movetur, frequentius tamen auras quam ventos habet, Plin. ep.: venti et aurae cient mare, Liv.: nunc omnes terrent aurae, erschreckt jedes Lüftchen, Verg. – bei Dichtern jeder (auch scharf wehende) Wind, petulans, Lucr.: rapida, Ov.: aurae vela vocant, Verg. – u. die Luft übh., aura mixta vapore, Lucr.: aurae aëris, Lucr. u. Mam. Claud., od. aurae aëriae, Lucr. u. Verg. – b) meton., Plur. aurae, wie Lüfte, α) für Höhe, Himmel, cursum per auras dirigere, Verg.: in auras attollere se od. assurgere, Verg.: ad auras tendere od. se agere, Verg.: erigere fluctus sub auras, Verg.: stat ferrea turris ad auras, ragt hoch in die Lüfte, Verg. – β) für Oberwelt, venire superas ad auras, Verg.: seque ipsum pondus in auras expulit (v. neugeborenen Kinde), ans Licht der Welt, Ov. – γ) für Tageslicht, Öffentlichkeit, ferre sub auras, bekannt machen, Verg.: reddere ad auras, herausgeben, Verg.: fugere auras, das Tageslicht meiden, Verg. – c) übtr., der leise, flüchtige, wirklich oder scheinbar günstige, lockende Hauch, das leise Anschlagen, das leise Zeichen, der leise Schimmer von usw., dum flavit velis aura secunda meis, Ov.: aura honoris, der sanfte, liebliche Hauch der Ehre (Ggstz. periculi tempestas), Cic.: rumoris, Cic.: voluntatis, Cic.: favoris popularis, Liv.: vulgi se venditare aurae, Ov.: levis aura spei obicitur, Liv.: dah. bes. häufig aura popularis, die unbestimmte, unzuverlässige Gunst des großen Haufens, Cic. u.a. (neben militaris favor, Liv. epit. 30): auch im Plur. aurae populares, Verg. Aen. 6, 817: u. bl. aura, Liv. 6, 11, 7. – 2) insbes., die atmosphärische Luft, die wir einatmen, auras vitales suscipere, Lucr., od. carpere, Verg.: auris vitalibus vesci, Lucr. u. Verg.: haurire auram communem, Quint.: captare naribus auras, schnaubend atmen, Verg. – übtr., libertatis auram captare, nach jeder Hoffnung von Freiheit haschen, Liv. – II) im weitern Sinne: 1) die Ausdünstung, der verbreitete Dunst, Geruch (vgl. Jacob Lucil. iun. Aetna 315. Bünem. Lact. 3, 17, 11), Lucr., Verg. u.a.: auram (Duft) bonam floris naribus ducere, Min. Fel. 38, 2. – 2) der Lichtglanz, Schimmer, auri, Verg. Aen. 6, 204. – 3) die Wärme des Sonnenlichtes, Varr. sat. Men. 139. – 4) das Echo, Prop. 1, 20, 50 u. s. – / Arch. Genet. Sing. aurai, Verg. Aen. 6, 747.

    lateinisch-deutsches > aura

  • 11 commemoro

    com-memoro, āvī, ātum, āre, etw. »sich oder an dere bei sich gedenk sein lassen«, sich od. andern ins Gedächtnis zurückführen od. zurückrufen, vergegenwärtigen, I) sich = sich etw. ins Gedächtnis zurückrufen, vergegenwärtigen, einer Sache bei sich eingedenk sein, m. folg. Acc. u. Infin., cotidie commemorabam te unum in tanto exercitu mihi fuisse assensorem, Cic. ep. 6, 21, 1: vitandi rumoris causā, quo patrem Caesarem vulgo reprehensum commemorabat, Suet. Aug. 45, 1. – m. folg. indir. Fragesatz, exercendae memoriae gratiā, quid quoque die dixerim, audierim, egerim, commemoro vesperi, Cic. de sen. 38. – II) andern: a) jmdm. etwas ins Gedächtnis zurückrufen, vergegenwärtigen, bei jmd. etwas in Erinnerung bringen (vgl. Gronov Plaut. Pseud. 5, 1, 36), foedus, Plaut.: beneficia, Cic.: gratiam, amicitiam cognationemque, Cic.: m. dopp. Acc., alqm peccatum infantiae suae, Augustin. conf. 1, 7. – b) einer Sache gedenken machen = erwähnen, etw. darlegen, anführen, m. Acc., humanam societatem, Cic.: Xenophontis iucunditatem, Quint. – m. folg. Acc. u. Infin., Critolaus iste, quem cum Diogene venisse commemoras, Cic.: illa pars equitatus Usipetum, quam supra commemoravi praedandi frumentandique causā Mosam transisse, Caes.: eum induxit commemorantem se pernoctasse cum Socrate, Nep. – m. folg. indir. Fragesatz, cum dem, quam ob rem dem, commemorabo, Ter.: quid ego nunc commemorem singillatim, qualis ego in hunc fuerim? Ter.: quantam curam diligentiamque in valetudine mea tuenda hoc tempore adhibuerim, cum vos testes habeam, nihil necesse est pluribus verbis commemorare, Nep. – m. Ang. in betreff wessen? durch de u. Abl. = eines Ggstds. Erwähnung tun, illi, de quibus ante commemoravi, Cic.: de ea regione ut Thessaliā, Vell.: bes. lobend, prahlend, saepe de alqo, Cic.: de alcis virtute, integritate, humanitate, Cic.: plura de alcis pietate, Cic. – im Passiv mit Angabe an (bei) wem? od worunter? durch in u. Abl., quae si in privatis gloriosa sunt, multo magis commemorabuntur in regibus, Cic. Deiot. 40: u. so m. folg. Acc. u. Infin., cum legent in eius virtutibus commemorari saltasse eum commode, Nep. praef. § 1. – / Depon. Nbf. commemoror, Eccl.

    lateinisch-deutsches > commemoro

  • 12 nescio

    ne-scio, īvī u. iī, ītum, īre, nicht wissen, I) im allg.: nomen Ter.: nec pudet fateri nescire, quod nesciam, Cic.: de amica, Plaut.: de Oropo opinor, sed certum nescio, Cic.: mit Acc. u. Infin., nescibam id dicere illam, Ter.: m. folg. indir. Fragesatz, nescis, quanta cum exspectatione sim te auditurus, du glaubst nicht, Cic.: cum, quemadmodum sedaret, nesciret, Nep.: nescio, quid narres od. ego, quid narres, nescio, ich verstehe nicht, was du willst, Ter.: quid nobis agendum sit, nescio, Cic.: anima sit animus ignisve, nescio, Cic.: utrum consistere usquam velit, an mare transire, nescitur (weiß man nicht), Cic. – Partiz. nesciēns, nicht wissend, ut sentiat, te nescientem id dare, ohne es zu wissen, Ter. heaut. 468. – Besondere Redeweisen: a) nescio an, s. anno. I, 1 sqq. – b) nescio qui, quae, quod (interrog.), nescio quis, quid, ich weiß nicht, welcher usw., ich weiß nicht, wer, was, ich weiß nicht, wie ich es bezeichnen soll, von dem, was man nicht bestimmt angeben kann od. will, oft mit dem Nbbgr. des Bedeutenden od. der Geringfügigkeit u. der Geringschätzung, nescio quā permotus divinatione, ich weiß nicht, durch was für eine Ahnung, durch eine gewisse (mir unbekannte) Ahnung, Cic.: casu nescio quo, Cic.: in oppidum, nescio quod, eine gewisse, mir unbekannte Stadt, Cic. – prope me nescio quis loquitur, Plaut.: Paconii nescio cuiusque relis moveri, Cic. – tum illud nescio quid praeclarum ac singulare solet exsistere, jenes Herrliche und Einzige, wofür ich keinen Namen weiß, Cic.: nescio quid esse putant, Ov.: nescio quid exsculpserint, Cic. – paulum nescio quid, ein »Bettel« (v. Preis), ein Lumpengeld, Plin.: nescio quid frivoli, eine Kleinigkeit (v. einer Sache), Suet.: rumoris nescio quid, Cic.: nescio quid litterularum, ein ganz kleines Briefchen, Cic.: nescio quid illud factum etc., über alle Maßen unmännlich, Cic.: nescio quid dissentiens, ein wenig, Cic.: causidicum nescio quem, Cic. – c) si nescis, wenn du es etwa nicht weißt, wenn du es wissen willst, Ov. her. 17, 197 u.a. – d) illud od. id quod scis nescis, du tust so, als ob du es nicht wissest, eine Formel der Umgangsspr., mit der man jmdm. das Bewahren eines Geheimnisses anempfahl, Enn. u. Komik. – e) nescio quo modo, nescio quo pacto, ich weiß nicht wie, -auf welche Art, teils zur Bezeichnung des Unbestimmten, sozusagen, so eine Art von, so gewissermaßen, teils des Unwillkürlichen, unwillkürlich, unbemerkt, teils des Unbegreiflichen, unbegreiflich, oft bei Cic. u.a. (dem Hauptverbum voran- od. nachgesetzt), s. die Stellensammlung bei Beier Cic. de off. 1, 146. – II) insbes.: A) jmd. od. etwas nicht kennen, einer Sache unkundig sein, alqm, Plaut.: deos, Ter.: arma, Flor.: vinum, sich enthalten, Iuven.: hiemem, Verg.: sua pericula, nicht merken, Lucan. – Partiz., a) nesciēns, nicht kennend, unbewußt, sui, Apul. apol. 42. – b) nescītus, a, um, ungekannt, Sidon. epist. 8, 6, 7. – B) nicht können, nicht imstande sein, nicht gelernt haben, nicht verstehen, Latine, Titin. fr. u. (Ggstz. Latine scire) Cic.: Graece, Cic.: versus, keine Kenntnis vom Versbau haben, Hor.: nescire litteras, s. litterano. I u. no. II, B, 2, c: utram tandem linguam (Sprache) nescio? Cic. – m. folg. Infin., irasci, Cic.: quiescere (Ruhe zu halten), Liv.: hoc imitari, Curt.: equo haerere, Hor.: capi virtus nescit, Val. Max. – / synk. Imperf. nescibam, Turp. com. 17. Ter. eun. 155 u. 736: nescibas, Plaut. Bacch. 676. Sen. contr. 7, 3 (18), 4 Burs. (Kießling u. Müller nesciebas). – Fut. nescibo, Plaut capt. 265.

    lateinisch-deutsches > nescio

  • 13 rumor

    rūmor, ōris, m. (wohl verwandt mit raucus), jedes dumpfe Geräusch, I) im allg.: a) v. Lebl., wie das Geräusch der Ruder, rumore secundo, unter günstigem Ruderschlag, Poëta vet. b. Cic. de div. 1, 29. Verg. Aen. 8, 90: das Murmeln des Wassers, tacito rumore, Auson. Mos. 22. – b) das Murmeln, Summen, verworrene Geschrei, das verworrene Durcheinanderrufen einer Menschenmenge, Claud. nupt. Hon. et Mar. 160: trepido rumore viciniae clamitantis territus, Apul. met. 3, 27. – bes. oft rumore secundo, poet. = clamore secundo, unter Beifallsruf, mit lärmendem Beifall, Hor. ep. 1, 10, 9. Tac. ann. 3, 29. Suev. b. Macr. sat. 6, 1, 37: secundo populi rumore, Fenest. b. Non. 385, 17. – II) prägn.: A) das erzählende, berichtende leise Gerede der Leute von etwas, das dumpfe Gerücht, die unverbürgte Nachricht (Ggstz. veritas, s. Donat. Ter. Andr. 3, 3, 2), rumor inanis, Tac. (vgl. no. B): rumor levis et incertus, Suet.: rumores incerti, Caes.: rumores falsi, Caes.: rumor temere ortus, Liv.: rumores a privatis temere in gratiam magistratuum conflicti, Liv.: primo rumore, Sall.: rumor multa fingit, Caes.: rumor multa perfert, Cic.: quod in totam contionem pertulit rumor, Liv.: r. serpit, Cic.: frigidus a rostris manat per compita rumor, Hor.: rumorem dissipare, differre, Ter. u. Nep., serere, Verg. u. Curt.: dare passim varias rumorem per urbes, Stat.: rumores Africanos excipere et celeriter ad alqm perferre, Cic.: alere de industria rumores, Liv.: evanescit temere ortus rumor, Liv.: addidit alimenta rumoribus adventus Attali, Liv.: affingunt rumoribus quod res poscere videbatur, Caes.: rumoribus falsis terreri, Caes.: incertis rumoribus servire, Caes. – m. Genet. caus., uno rumore periculi, von G., Cic.: cenae r., Suet. – m. de u. Abl., graves de te rumores, Cic.: exstinctis rumoribus de auxiliis legionum, Caes.; vgl. rumor sine satis certo auctore allatus de morte Ptolemaei regis, ein unverbürgtes G., Liv. – mit folg. Acc. u. Infin., nach rumor venit, Ter., r. emergit, Vopisc., r. est, Ter. u. Cic., r. narrat, Mart., r. incedit, Tac., r. vulgatur, Liv.: nach crebri rumores afferebantur, Caes.: nach rumores exsistunt, Auct. b. Alex.: nach increbrescit rumor, Liv.: nach rumores distulerunt malevoli, Ter. – B) das beurteilende Gerede der Leute, die Volksstimme, objekt. der Ruf, 1) im allg.: rumor populi, Ter.: fama rumoresque hominum, Liv.: rumore adverso esse, in üblem Rufe stehen, Liv.: so auch rumore malo flagrare, Hor.: claro apud vulgum rumore esse, Tac.: inanem aucupari rumorem et omnes umbras etiam falsae gloriae consectari, Cic.: totam opinionem parva nonnumquam commutat aura rumoris, Cic. – 2) insbes.: a) die gute Meinung, der Beifall, rumori servire, Plaut.: rumorem quendam et plausum popularem esse quaesitum, Cic.: plebis rumorem affectavit, Tac. – b) die üble Nachrede, die Verleumdung, Curt. 10, 10 (31), 18: Plur., Sall. hist. fr. 2, 30 (2, 36).

    lateinisch-deutsches > rumor

  • 14 vanus

    vānus, a, um (vgl. altind. ūná-h, unzureichend), leer, nichts in sich enthaltend, taub, I) eig.: arista, Verg.: granum, Colum.: magnitudo urbis, Liv.: venti, körperlose, nichtige, Catull.: imago, leeres Bild, d.i. der Schatten eines Toten, Hor.: somnia, leere Träume, Verg.: vanior acies hostium, Liv. – II) übtr., dem Inhalte od. dem Erfolge, der Wirkung nach leer, gehaltlos, eitel = unbedeutend, nichtig, lügenhaft, grundlos, erfolglos, fruchtlos, vergeblich, A) v. Lebl.: 1) adi.: res, Liv.: sermo, Liv.: vanissimus strepitus verborum, Petron. – oratio, Cic.: spes, Ov.: gaudia, Hor.: metus, Hor.: omen, Ov.: vana quaedam pollicebatur, Cic.: nec vana fides, und es ist wahr, Verg.: haud vana, Liv. – v. Geschossen, ictus, Liv.: vana tela mittere, Liv. – vanum est m. Acc. u. Infin., vanum arbitror esse circa canis ortum angues candidos membranam eam exuere, Plin. 30, 25. – m. Genet., leer an usw., profana philosophiae turba vana sanctitudinis, priva verae rationis, Apul. de deo Socr. 3 in. – 2) neutr. subst. = das Leere, Eitle, Vergebliche, haustum ex vano, aus einer falschen Quelle geschöpft, Liv.: nec tota ex vano criminatio erat, ohne Grund, Liv.: ad vanum et irritum redacta victoria, ist vernichtet, Liv.: ut tela in vanum cadant, Sen.: cedit in vanum labor, ist vergeblich, Sen.: alioquin abibunt in vanum monentium verba, sind in den Wind gesprochen, Sen. – poet., vana tumens, mit leerem Scheine, aufgeblasen (von Einbildung), Verg. Aen. 11, 854: vana luctans, Sil. 17, 313. – m. Genet., vana rerum, Hor.: vana rumoris, Tac. – B) v. Pers.: 1) v. dem, dessen Handlungen ohne Erfolg sind, ne vanus isdem castris assideret, vergeblich, Tac. hist. 2, 22. – u. so poet. m. Genet., aut ego veri vana feror, Verg. Aen. 10, 631: vanus voti, Sil. 12, 261. – 2) insbes., im moralischen Sinne, lügenhaft, windbeutelig, wankelmütig, eitel, prahlerisch, windig, abenteuerlich, haruspex, Cic.: ingenium, Liv. u. (v. der Pers. selbst) Sall.: quam vana et mutabilia barbarorum ingenia essent, Liv.: vanus aemulatione, töricht aus Eifersucht, Tac.: vanum se esse et perfidiosum fateri, Cic.: laudare se vani est, Val. Max.: vanus auctor est, der Gewährsmann verdient keinen Glauben, Liv.: inde vanus auctor absumpti Masinissae ad regem rediit, mit dem falschen Berichte, M. sei umgekommen, Liv.: Cn. Lentulus perincertum stolidior an vanior, Sall. fr.: vanissimi cuiusque ludibrium, jedes Abenteurers, Betrügers, Curt.

    lateinisch-deutsches > vanus

  • 15 geheimnisvoll

    geheimnisvoll, arcanus. – Auch durch eine Wendung mit nescio qui, quae, quod od. quid. – eine g. Sache, res arcana: g. Dinge, [1027] res arcanae; u. bl. arcana, ōrum,n. pl.: g. Lehre, mysterium: es hatte sich ein g. Gerücht vernehmen lassen, rumoris nescio quid afflaverat. – ein g. (d. i. versteckter) Mensch, homo occultus; homo tectus et occultus.

    deutsch-lateinisches > geheimnisvoll

  • 16 vernehmen

    vernehmen, I) auffassen, a) vom Gehör; percipere. – b) von Menschen; s. hören no. III, erfahren. – »so vernimm«, als Nachsatz, bleibt unübersetzt, s. Cic. ep. 1, 7, 2: quod scire vis, quā quisque in te fide sit et voluntate, difficile dictu est de singulis, was das anbetrifft, daß du erfahren willst, wie etc.... so vernimm, daß etc. – sich v. lassen, audiri. exaudiri (gehört werden, von einer Stimme etc.); dicere (sagen [w. s.], v. Pers.): es hat sich ein dunkles Gerücht v. lassen, daß etc., rumoris nescio quid afflaverat mit Akk. u. Infin. – II) verhören: interrogare alqm (z.B. testem domi). – jmd. über etw. (gerichtlich) v., interrogare alqm lege alcis rei.

    deutsch-lateinisches > vernehmen

  • 17 afflo

    adflo (afflo), āre, āvi, ātum [st2]1 - intr. - souffler sur, souffler vers, s'exhaler, se répandre. [st2]2 - tr. - envoyer en soufflant, communiquer en soufflant, exhaler. [st2]3 [-] toucher de son souffle; atteindre de son influence, inspirer.
    * * *
    adflo (afflo), āre, āvi, ātum [st2]1 - intr. - souffler sur, souffler vers, s'exhaler, se répandre. [st2]2 - tr. - envoyer en soufflant, communiquer en soufflant, exhaler. [st2]3 [-] toucher de son souffle; atteindre de son influence, inspirer.
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        Afflo, afflas, afflare. Souffler contre, ou vers quelque chose.
    \
        A serpentibus afflari. Columel. Estre halené des serpents.
    \
        Afflari incendio. Liu. Estre un peu grillé, et atteins de la flambe du feu.
    \
        Afflantur odores efloribus. Cic. Les fleurs rendent et jectent bonnes odeurs.
    \
        Vineta afflantur Noto maligno. Stat. Les vignes sont frappees de mauvais vent ou atteintes.
    \
        Ore alicuius afflari. Ouid. Estre touché du vent ou haleine sortant de la bouche de quelcun.
    \
        Afflare, pro Flatu implere. Oui. Emplir de vent en soufflant.
    \
        Rumoris nescio quid afflauerat. Sub. ME. Cic. Quelque bruit m'avoit soufflé aux oreilles.
    \
        Afflare alicui, pro Fauere. Tibul. Foelix, cui placidus leniter afflat Amor. A qui il porte ou donne faveur.
    \
        Sperat sibi auram posse aliquam afflari in hoc crimine. Cic. Il espere que quelcun luy favorisera en ce crime.
    \
        Afflare alicui aliquid mali. Author ad Heren. Infecter quelcun de son haleine, Luy halener quelque mal.
    \
        Afflare aliquem fulmine. Plin. iunior. Atteindre et toucher du fouldre.
    \
        Ignibus afflari. Ouid. Estre atteint de la flambe du feu.
    \
        Afflari diuino spiritu. Cic. Estre inspiré de l'esprit divin, Estre inspiré de Dieu.
    \
        Afflari sydere. Plin. Quand un jeune arbre, ou autre chose meurt de seicheresse és jours caniculaires. C'est aussi quand un membre total devient corrompu, mort, sec et inutile.
    \
        Peste afflatus. Sillius. Atteint et infecté de peste.
    \
        Sole afflatus. Claudian. Atteint du soleil.

    Dictionarium latinogallicum > afflo

  • 18 affluo

    adflŭo (afflŭo), ĕre, fluxi, fluxum - intr. - [st2]1 [-] couler vers, couler auprès; arriver, pénétrer vers. [st2]2 [-] affluer, venir en foule, être abondant. [st2]3 [-] avoir en abondance, abonder, regorger de.    - aestus bis adfluunt, Plin. 2, 97, 99, § 212: la marée monte deux fois.    - adfluentibus undique barbaris: les barbares affluant de toutes parts.    - divitiis adfluere: regorger de richesses.    - affluit incautis amor, Ov. R. A. 148: l'amour se glisse dans les coeurs mal défendus.
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    adflŭo (afflŭo), ĕre, fluxi, fluxum - intr. - [st2]1 [-] couler vers, couler auprès; arriver, pénétrer vers. [st2]2 [-] affluer, venir en foule, être abondant. [st2]3 [-] avoir en abondance, abonder, regorger de.    - aestus bis adfluunt, Plin. 2, 97, 99, § 212: la marée monte deux fois.    - adfluentibus undique barbaris: les barbares affluant de toutes parts.    - divitiis adfluere: regorger de richesses.    - affluit incautis amor, Ov. R. A. 148: l'amour se glisse dans les coeurs mal défendus.
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        Affluo, affluis, pen. cor. affluxi, affluxum, affluere. Plinius. Couler, ou fluer vers quelque lieu.
    \
        Affluere, de hominibus dictum. Liu. Deinde vt quaeque potuerant copiae affluebant. Venoyent à grand'foule, Affluoyent.
    \
        Affluit in cautis insidiosus amor. Cic. Vient secrettement sans qu'on y pense, Surprend les gents.
    \
        Nihil ex istis locis, non modo literarum, sed ne rumoris quidem affluxit. Cic. Il n'est venu de là ne lettres, ne nouvelles quelconques.
    \
        Si voluptas ad eos cum suauitate afflueret, et illaberetur. Cic. Venoit à eulx tout doulcement.
    \
        Affluere, per metaphoram. Cic. Avoir abondance de quelque chose.
    \
        Diuitiis affluere. Lucret. Abonder en richesses.

    Dictionarium latinogallicum > affluo

  • 19 auctorĭtās

    auctorĭtās, ātis, f. [st1]1 [-] accomplissement, production, invention.    - auctoritatis facti comprobatores, Cic. Inv. 1: ceux qui approuvent l'accomplissement du fait.    - quod si exquiratur usque ab stirpe auctoritas (rumoris), Plaut. Trin.: si on remontait à la source du bruit.    - fulmen auctoritatis, Sen.: foudre qui suit le fait accompli. [st1]2 [-] exemple, précédent, modèle.    - valuit auctoritas, Cic. Tusc. 2: l'exemple fit son effet.    - auctoritatem alicui dare (praescribere), Cic.: donner à qqn un exemple.    - aliorum auctoritati parere, Cic. Leg. 1: se conformer à l'usage, se conformer aux précédents.    - publicorum aedificiorum auctoritates, Vitr.: édifices publics offerts comme modèles (comme types). [st1]3 [-] garantie (pécuniaire ou morale), caution, responsabilité.    - auctoritatem promittere, Sen.: se donner pour caution.    - auctoritatem rei defugere, Cic.: décliner la responsabilité de qqch. [st1]4 [-] créance, crédibilité, validité d'un témoignage; au plur. hommes ou choses qui font autorité, actes qui font foi, titres authentiques, documents authentiques.    - justitia satis habet auctoritatis, Cic. Off. 2: la justice inspire assez de confiance.    - auferre testibus auctoritatem, Quint.: discréditer des témoins.    - repetere auctoritatem ab ultimis, Cic.: remonter aux plus anciens témoignages.    - auctoritates contemnere, Cic. Nat. 3: dédaigner les autorités (les noms qui font autorité).    - auctoritates principum conjurationis, Cic. Sull. 13: les noms des chefs de la conspiration.    - legationes cum publicis auctoritatibus, Cic. Verr. 1: députations munies de pièces authentiques. [st1]5 [-] opinion, conseil, avis; approbation, consentement.    - suam auctoritatem defendere, Cic.: défendre son opinion.    - eorum auctoritate, Cic.: d'après leurs conseils.    - ejus mihi vivit auctoritas, Cic. Att. 10: il me semble encore entendre ses recommandations. [st1]6 [-] volonté, commandement; sentence, décret.    - legio auctoritatem Caesaris persecuta est, Cic. Phil.: la légion se rangea sous les ordres de César.    - verba servire hominum auctoritatibus, Cic.:... que les mots sont assujettis aux intentions des hommes.    - senatūs auctoritas, Cic.: décret du sénat, sénatus-consulte.    - auctoritas populi, Cic.: décision du peuple.    - auctoritas censoria, Cic.: blâme infligé par les censeurs.    - ex auctoritate, Caes.: au nom de l'Etat, en vertu d'un mandat public. [st1]7 [-] pouvoir de faire, puissance légale, autorité, initiative. - non deest rei publicae consilium neque auctoritas hujus ordinis; nos, nos, dico aperte, consules desumus, Cic. Cat. 1, 2 ni la clairvoyance ni l'énergie n'ont manqué à la république et au sénat que voici; c'est nous, je le dis ouvertement, c'est nous, consuls, qui avons manqué à la république.    - auctoritas legum dandarum, Cic. Verr. 2: pouvoir de donner des lois.    - legatos cum auctoritate mittere, Cic.: envoyer des ambassadeurs munis des pleins pouvoirs.    - auctoritas consulum: puissance consulaire. [st1]8 [-] autorité morale, ascendant, considération, crédit (d'une personne); importance, poids, valeur, prix (d'une chose).    - auctoritatem habere (tenere): être estimé, avoir l'estime.    - auctoritatem afferre (facere): donner de la considération.    - auctoritate magis quam imperio regere loca, Liv.: gouverner un pays par son ascendant plutôt que par une autorité réelle.    - bos in pecuaria maxima debet esse auctoritate, Varr. R. R. 2, 5: le boeuf doit compter pour beaucoup.    - auctoritas praecipua lupo (pisci), Plin. 9, 17, 28, 61: le loup marin fut le plus estimé des poissons. [st1]9 [-] droit de propriété, droit de revendication, droit d'éviction.    - adversus hostem aeterna auctoritas, Tab.: contre un étranger le droit est imprescriptible.

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  • 20 afflo

    af-flo (ad-flo), āvī, ātum, āre, I) zu-, entgegen-, anwehen, A) eig.: a) intr. v. Winde, ne in eas partes spectet villa, ex quibus ventus afflare soleat, Varr.: v. der Kälte, afflabat acrior frigoris vis, Liv.: v. Duft, entgegenduften, afflabunt tibi non Arabum de gramine odores, Prop.: u. medial, odores, qui afflarentur e floribus, Cic. – b) tr. v. Feuer, calidum membris afflare vaporem, Gluthitze anhauchen, Lucr. – B) übtr.: a) intr. entgegenwehen (wie der Wind, der die Segel schwellt) = günstig sein, felix, cui placidus leniter afflat amor, Tibull.: afflante fortunā, Quint. – b) tr.: α) zuwehen = zubringen, zutragen, sperat sibi auram posse aliquam afflari voluntatis dissensionisque eorum, qui etc., Cic.: rumoris nescio quid afflaverat commissione Graecorum frequentiam non fuisse, Cic. – β) anhauchen, eingeben, (unvermerkt) mitteilen, ubi indomitis gregibus Venus afflat amores, Tibull.: (genetrix) laetos oculis afflarat honores, hatte heitere Würde den Augen angehaucht, Verg.: u. vom Gifthauche des Neides, si quem reperiat, cui aliquid mali faucibus afflare possit, Cornif. rhet. – II) anwehen, anblasen, anhauchen (= wehend-, hauchend berühren), tr. u. intr., A) eig., v. Winde, v. der Luft, terga tantum afflante vento, Liv.: afflatus aurā (Zugluft), Suet.: v. Atem, Hauch, taurorum afflari ore, Ov.: a serpentibus afflari, Col.: si serpens afflavit,
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    Sen.: velut illis (Dat.) Canidia afflasset, jene (die Speisen) durch ihren Hauch vergiftet hätte, Hor.: v. Atem der Sonnenrosse (= Morgenluft), nosque ubi primus equis Oriens afflavit anhelis, Verg.: v. Blitz (s. Barth Stat. Theb. 2, 85), tribus modis urit (fulmen), aut afflat (versengt) et levi iniuriā laedit aut comburit (verbrennt) aut accendit (setzt in Flammen), Sen. nat. qu. 2, 40, 4: imbre orto fulmen decidens hostiam et victimarium sacrificanti afflavit, traf, Spart. Hadr. 14, 3: me divum pater fulminis afflavit ventis, mit anwehendem Strahle gerührt, Verg.: u. so fulminis telis od. fulminum ignibus afflari, vom Blitzstrahl berührt (versengt) werden, Ov.: v. Feuer u.v. der Hitze übh., saucii afflatique incendio, von der Glut versengt, Liv.: afflari sidere = siderari (w.s.), Plin.; vgl. loquacitas animos iuvenum... pestilenti quodam sidere afflavit, Petr. – B) übtr., jmd. anhauchen = jmd. (mit Begeisterung, Jugend usw.) erfüllen, afflata est numine quando iam propiore dei, da vom mächtigen Hauch des nahenden Gottes jetzt mit Begeisterung sie erfüllt ward, Verg. – te... Gratia afflavit, Claud.: Romam meliore iuventā, ihr Jugend verleihen, Claud. – Romam regius terror afflabat, befiel Furcht vor dem Könige, Flor.

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См. также в других словарях:

  • bruit — Bruit, Sonitus, Tumultus, Tumultuatio. Petit bruit, Murmurillum. Grand bruit, Fremitus. Dés qu il y a quelque bruit, Quicquid increpuerit, B. ex Cicerone. Bruit qu on fait des pieds quand on chemine, ou des mains, Strepitus. Le bruit que font les …   Thresor de la langue françoyse

  • RUMEUR — Dans L’Énéide , Virgile parle de la rumeur, messagère de l’erreur et de la vérité, comme du plus rapide de tous les fléaux, qui va, répandant la terreur, et se fortifie en se diffusant. Ainsi, l’accent est il mis par le poète sur les trois traits …   Encyclopédie Universelle

  • EMBLEMA — ex Graeco ἔμβλημα, quod operi cuipiam adicitur, ornatûs grariâ. Fortunat. de Vita Martini l. 2. Emblema, gemma, lapis, toreumata tura, falerna Latinis Inserta, inserere enim est ἐμβάλλειν. Fiebat id per artem ἐμπαιςτικὴν, quâ tessellae aureae… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • INSERTA — apud Publ. Syrum, Frugalitas inserta est rumoris boni. Ioseph. Scalig. emblema, Salmas. ἐπίβλημα, est, quod verbi, inquit significat insertam pilrpuram in fine vestis. Hesych. ἐπίβλημα, λῶμα, ῥακος ῥάκη autem ut notum, Graecis vocati sunt panni,… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • PARIES — an ex par, quia semper duo pares: an ex paro, i. e. struo? Aeliô Gallô finitore, sive murus, sive maceria est, l. 157. ff. de verb. signif. Leoni Bapt. Alber. l. 1. omnis structura sic dicitur, quae a solo in altum surrexit ad ferendum onus… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • Rumor — Ru̱mor [aus lat. rumor, Gen.: rumoris= dumpfes Geräusch] m; s, ...mo̱res: Körpergeräusch. Ru̱mor con|fricatio̱|nis [lat. confricare = bereiben, abreiben]: = Reibegeräusch. Ru̱mor po̱culi fẹssi [lat. poculum = Trinkgeschirr, Becher; lat. fessus …   Das Wörterbuch medizinischer Fachausdrücke

  • garant — Garant, m. acut. Est celuy qui de droict est tenu faire bon, valoir, jouir, tenir, et posseder à un autre ce qu il luy a cedé et transporté, soit qu il le luy ait promis par le contract, soit que le droict l y oblige, Is quem de euictione tenet… …   Thresor de la langue françoyse

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